Étiquette : mémoire

Alexis Govciyan à propos de la convention avec le Mémorial de la Shoah

https://youtu.be/ilDw73Lo3po

Notre groupe MoDem et Indépendants votera bien évidemment en faveur de cette délibération qui concerne un projet innovant et utile de développement d’une application numérique mémorielle. 

Ce projet, émouvant dans ses objectifs, permettra de visualiser les noms, les visages et les histoires des enfants juifs déportés, grâce aux informations issues de la base de données du Mémorial de la Shoah qui réalise, comme chacun le sait, un travail très important de transmission de la mémoire.  

Et chers collègues, nous avons aujourd’hui plus que jamais besoin de rendre vivante la mémoire de ces enfants. Pouvoir croiser leurs regards, mettre des noms sur des images, mieux comprendre leur histoire et la vie humaine qui était la leur avant la Shoah, sera l’une des conséquence de ce projet et c’est tant mieux. 

Cela sera en 2025 puisque dès le 27 janvier 2025, nous commencerons à commémorer l’ouverture la libération des camps nazis et d’abord le camp d’Auschwitz Birkenau.

Je profite de cette intervention pour remercier une nouvelle fois le mémorial de la Shoah, son directeur Jacques Fredj comme l’ensemble des équipes pour leur approche universelle de la mémoire et pour leur travail de transmission.

Monsieur le Maire, cher Patrick Bloche, j’avais prévu de dire ces quelques mots et de m’arrêter là. Mais, lors des débats d’hier dans notre hémicycle, vous en parliez, pour l’examen de la DASCO 86, un autre projet important du Mémorial sur le parcours éducatif d’histoire et de mémoire, j’ai hélas entendu une nouvelle fois des propos fort déplaisants. 

Il faut arrêter avec ces postures. Certains même dans cet hémicycle, tout en disant avec des trémolos dans la voix leur combat contre l’antisémitisme, ne peuvent s’empêcher de proférer l’insulte suprême, oui l’insulte suprême, en affirmant qu’Israël commettrait un génocide à Gaza. Chaque Juif descendant des rescapés de la Shoah ou ayant cette mémoire un héritage partout dans le monde, comme les descendants du génocide des Arméniens ici et partout dans le monde, ou bien des Tutsis qui sont qui ont été exterminés au Rwanda et de leurs descendants comme partout dans le monde. Et pour ne parler que des horreurs du 20e siècle. Toutes ces personnes, tous ces gens, ne peuvent que se sentir insultés de ces affirmations stériles mais dangereuses. Affirmations stériles, dangereuses et propagées par d’autres de l’étranger pour de la manipulation et de la division y compris chez nous. Et d’autres viennent dans ce piège. 

Nous combattrons sans cesse cela avec force et détermination et nous le dénoncerons, et nous souhaitons, Monsieur le Maire, cher Patrick Bloche, que dans notre hémicycle on parle autrement que comme c’est fait avec des termes négationnistes et qui sont dans une logique de anti-Israël parce que de haine des Juifs. 

Je vous remercie. 

Béatrice Lecouturier rend hommage à Thomas Lauret

Madame la Maire,

Mes chers collègues,

Nous avons tous été saisis d’effroi, ce 24 septembre lorsque nous avons appris le décès brutal de Thomas Lauret à 53 ans. 

Saisis d’effroi car Thomas Lauret faisait partie de ces êtres sympathiques, empathiques et authentiques au-delà des clivages politiques qui nous séparent.

Saisis d’effroi car ce grand gaillard arpentait souvent le 16è arrondissement, sportif et en pleine forme.

Il était originaire de Montpellier et c’était tout le soleil du Sud qui éclairait son sourire.

C’était aussi cette chaleur humaine qu’il savait transmettre par son écoute ou son désir de convaincre. 

Car son engagement qu’il soit politique, professionnel, associatif ou amical, son engagement était total. 

Brillant étudiant, il fut diplômé de Sciences po, à Paris puis a intégré l’école des Hautes études de santé publique (l’EHESP). Thomas Lauret est alors nommé dans le corps national des directeurs d’hôpitaux. Il mène sa carrière dans la direction de plusieurs établissements de l’APHP, où il était un directeur reconnu et apprécié pour ses qualités de manager, son intelligence vive et sa curiosité toujours aiguisée.

En 2021, il est nommé Directeur général d’UNIVI santé regroupant la Porte Verte à Versailles et d’autres établissements de santé dans le sud de la France.

Sa trajectoire politique a été également rapide où il a été élu comme conseiller d’arrondissement Parti socialiste en 2008 dans le 16è arrondissement puis devenu Conseiller de Paris de 2014 à 2020. 

Et il en fallait du courage pour être opposant socialiste dans les conseils d’arrondissement dans le 16ème face à un redoutable député maire qu’était Claude Goasguen.

Mais Thomas Lauret a toujours défendu ses idées avec opiniâtreté et patience.

En 2017, il choisit de quitter le PS et crée avec Julien Bargeton, ancien adjoint aux finances à la ville de Paris,  le groupe macroniste démocrate et indépendant au conseil de Paris.

C’était tout ça Thomas Lauret. Le vrai sens de l’engagement, du service public, de la volonté de faire bouger les choses et les lignes.

Alors, notre groupe Modem et Indépendants pense à sa femme, à ses enfants et à tous ses amis qui le pleurent. Nous leur adressons nos sincères condoléances et nos affectueuses pensées. 

Je vous remercie. 

Maud Gatel à propos d’un hommage à Alain Delon

Merci beaucoup Madame la Maire, 

Mes chers collègues,

Icône du cinéma français, l’empreinte d’Alain Delon sur notre ville est indélébile. 

C’est en effet à Paris qu’Alain Delon commence à tracer son chemin vers la gloire après avoir été repéré dans un café par Jean-Claude Brialy. 

Il habitera notre ville à Montmartre, Saint-Germain-des-Prés ou encore dans le 16e arrondissement. Paris ne se contente pas d’être le témoin de l’émergence d’Alain Delon, elle est également le décor de plusieurs de ses films parmi les plus inoubliables qu’il s’agisse de Plein Soleil dont la scène d’ouverture a été tournée sur les quais de Seine. Où le Clan des Siciliens notamment dans le 10 arrondissement ou encore l’extraordinaire Monsieur Klein tourné dans le quartier de Montparnasse. 

Et il y a un lieu qu’affectionnait tout particulièrement Alain Delon. Ce sont les Champs-Élysées, magnifiés dans Borsalino, et tout particulièrement le cinéma le Normandie. Dans Le Samouraï, Alain Delon, alias Jef Costello, sème les policiers l’ayant pris en filature en traversant l’immeuble du Normandie en entrant par l’accès rue Lord Byron et en ressortant par le hall du cinéma. 

Sans présager de l’hommage que la ville souhaitera rendre à Alain Delon en fonction des discussions que vous pourrez avoir avec la famille, notre vœu a pour objet de permettre l’apposition d’une plaque sur l’ancien cinéma le Normandie et compte tenu de la disparition progressive des cinémas sur les Champs-Élysées et la fermeture toute récente du cinéma le Normandie, l’un des plus remarquables et ancien à Paris un tel hommage permettrait par ailleurs d’affirmer la dimension culturelle de la célèbre avenue. 

Je vous remercie. 

Maud Gatel à propos de la dénomination de la place Marielle de Sarnez (14e)

Merci Monsieur le Maire.

Mes chers collègues,

Le 13 janvier 2021, Marielle de Sarnez nous quittait après avoir courageusement lutté contre la maladie.

Libre, fidèle, engagée, le caractère unanime des hommages qui lui ont été rendus a démontré combien Marielle de Sarnez avait occupé une place singulière dans la vie politique parisienne, française et européenne. C’est en hommage à l’empreinte dans la vie politique européenne, nationale et parisienne qu’elle a laissé que notre conseil a voté à l’unanimité pour qu’un hommage lui soit rendu à travers la dénomination d’un lieu dans la capitale.

A l’époque, j’avais demandé que ce lieu ait du sens et corresponde à ses combats et ses valeurs. Et c’est le cas. Et c’est la raison pour laquelle je souhaitais adresser mes sincères remerciements à Laurence Patrice, remerciements auxquels j’associe évidemment la maire du 14ème arrondissement. Parce que la proposition que vous avez faite, madame la maire, est absolument en écho aux engagements de Marielle de Sarnez.

La place Marielle de Sarnez sera située au cœur du 14ème arrondissement et plus précisément au cœur du quartier Pernety qu’elle aimait tant. Un quartier solidaire, attentif aux autres dont son caractère village avait été exacerbé dans la mesure où Marielle de Sarnez y avait réuni son clan.

La place Marielle de Sarnez jouxtera les écoles Severo, elle qui plaçait l’éducation au cœur de ses priorités et qui considérait que chacun devait avoir accès à l’excellence, quel que soit son parcours ou son origine. Elle qui avait élargi le programme Erasmus aux étudiants du monde entier en portant le projet Erasmus Mundus au Parlement européen.

Et la place Marielle de Sarnez correspond en tous points à la vision profondément humaine qu’elle défendait pour les Parisiens, à la croisée des usages, des publics. Avec sa place ombragée de village et ses bancs, qui accueillent aussi bien les enfants sortant de l’école que leurs parents ou les personnes plus âgées du quartier.

Stefan Zweig, qu’elle aimait tant, disait “Toute vie qui ne se voue pas à un but déterminé est une erreur.” Marielle de Sarnez avait fait sienne cette maxime et la place Marielle de Sarnez sera à son image.

Je vous remercie.

Maud Gatel à propos de la dénomination de l’Allée des Rochambelles dans un square (14e)

Merci Monsieur le Maire.

Mes chers collègues,

Nous commémorons cette année le 80e anniversaire de la Libération de notre pays. L’occasion de dire notre reconnaissance à ceux qui ont risqué leur vie pour nous permettre de retrouver nos libertés. L’occasion de faire vivre leur mémoire et de transmettre leur souvenir à toutes les générations et notamment aux plus jeunes.

Parmi ces combattants de la liberté, des héroïnes ont parfois été oubliées et je veux remercier Thierry Le Dez, élu du 14e arrondissement, pour avoir porté ce vœu.

Au sein du 13e bataillon médical, le service de santé de la 2e DB, l’une des trois équipes ambulancières est formée par des volontaires féminines : l’unité Rochambeau, du nom du héros français de la guerre d’Indépendance américaine. Fondée en 1943 par Florence Conrad, américaine francophile ayant été infirmière durant la Première Guerre mondiale, elle compte initialement 14 jeunes volontaires françaises recrutées à New-York.

Arrivées à Casablanca en 1943, elles sont intégrées à la 2e DB, bien que Leclerc ne soit pas favorable à la présence des femmes.

Rapidement surnommées les Rochambelles, elles participent à la campagne de Normandie, la Libération de Paris et la campagne d’Allemagne. Leur mission est d’évacuer les blessés des zones de combats et de les transporter jusqu’au poste de « triage et traitement ». Bien qu’elles ne soient pas infirmières de formation, elles prodiguent les premiers soins et transportent les blessés en ambulance.

Alors, je me réjouis à la fois de cette dénomination et du lieu qui a été choisi. Le square Claude-Nicolas Ledoux, à proximité immédiate de la place Denfert Rochereau et du Musée de la Libération de Paris. Un endroit particulièrement symbolique puisque les troupes du Général Leclerc ont libéré Paris en entrant par la porte d’Orléans et en passant par l’avenue qui désormais porte son nom. Un hommage essentiel, à quelques semaines à peine des célébrations du mois d’août auxquelles, j’espère, le maximum de Parisiens sera présent pour manifester notre reconnaissance à toutes celles et ceux qui ont risqué leur vie pour que nous puissions vivre la nôtre.

Je vous remercie.

Maud Gatel rend hommage à Lucien-Louis Bayle

Merci Madame la Maire,

Lucien-Louis Bayle est décédé le jeudi 7 mars 2024 à l’âge de 85 ans. Il a été un grand serviteur de l’Etat, un élu engagé et un défenseur de la mémoire.

Dans sa jeunesse, Lucien-Louis Bayle sert dans l’armée. En novembre 1959, il est appelé, alors qu’il est en train de passer le baccalauréat, à se présenter à la caserne du deuxième régiment de marche du Tchad à Pontoise. Après avoir effectué son service militaire, il obtient le grade de caporal et passe son brevet d’aptitude. Il ressort major de la promotion. Il part à Cherchell en Algérie où il devient chef de section. Puis il est promu lieutenant de réserve honoraire en 1963.

Son dévouement au service de la patrie se poursuivra avec un engagement dans l’associatif comme président de l’UNC Paris 20e, UNC Paris ou encore UNC national, et comme membre du Haut Conseil aux rapatriés de 2005 à 2009 et président de l’association France-Tunisie.

A son retour dans la vie civile, après une formation juridique en droit public, il mène sa carrière dans l’administration publique. Il est nommé administrateur civil au tour extérieur de l’ENA et par la suite, il est amené à prendre des postes clés à France Télécoms ou encore au cabinet du ministre des PTT avant de rejoindre l’administration parisienne.

Il s’implique en parallèle de sa carrière professionnelle dans l’action municipale, notamment comme adjoint au maire du 20e arrondissement, élu sur la liste “Union pour Paris” conduite par Didier Bariani. Il travaillera notamment, main dans la main, avec Bernard Lehideux.

Lucien-Louis Bayle était profondément engagé dans les questions d’éducation. Sa participation active à l’association des parents d’élèves pour la pédagogie et son rôle en tant que personnalité qualifiée au conseil d’administration du lycée Hélène Boucher témoigne de son engagement pour améliorer le système éducatif et enrichir la vie scolaire des petits Parisiens. Reconnu par ses pairs et par la nation, il a été décoré des palmes académiques et a reçu la médaille d’argent de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif. Par décret du 14 juillet 2023, Lucien-Louis Bayle avait été promu officier dans l’ordre de la Légion d’Honneur et il a reçu les insignes, au Sénat, des mains du préfet Patrice Molle, en présence de Didier Bariani, du général Longuet, président de l’Union Nationale des Combattants.

Administrateur hors-classe, Lucien-Louis Bayle a marqué ses contemporains comme un élu dévoué et attachant.

Les élus du groupe MoDem, Démocrates et Écologistes adressent à sa famille, son épouse et son fils nos plus sincères condoléances.

Je vous remercie.

Maud Gatel rend hommage à Jean-François Pernin

Merci Madame la Maire, 

Mes chers collègues,

Jean-François Pernin nous a quittés le 12 février dernier à l’âge de 82 ans. C’était un homme de conviction, de dévouement, de fidélité qui a consacré sa vie à ses concitoyens.

Grand journaliste notamment au quotidien Le Monde, où il était spécifiquement chargé de l’information parisienne, Jean-François Pernin était une figure reconnue dans le domaine de l’information en France. 

En parallèle de sa carrière professionnelle, la politique l’a rattrapé. Il s’est engagé activement dans la vie publique succédant à son père, il a été élu maire du 12ème arrondissement en 1995, d’un dévouement total pour ses administrés, ancré dans la vie de son quartier, il était également porteur d’une vision pour notre ville. Ce fut notamment le cas avec son projet de transformation de la petite ceinture, en un lieu dédié à la promenade, aux cyclistes et aux loisirs, s’étirant de l’avenue Daumesnil jusqu’à la place de la Bastille.

Défenseur infatigable des espaces naturels tels que le Bois de Boulogne ou le Bois de Vincennes, Jean-François avait à cœur de préserver ces poumons verts au sein de notre métropole. Son combat pour le reboisement, la réhabilitation des paysages et la réduction de la pression automobile lui était reconnu. 

Il témoignait ainsi de sa volonté de souligner la continuité entre la vie urbaine et les paysages, faisant de Paris une ville où la nature n’est pas simplement un décor, mais un élément intrinsèque de son identité.

Au cours de son mandat, il a notamment inauguré les aménagements de la Seine de Bercy. Des travaux réalisés sur une période de 15 ans comprenant la construction de 15 000 logements dont 13 000 logements sociaux, sans tours ni barres d’immeubles. Ce projet s’est également accompagné de la création d’un parc, de 3 écoles, de 2 crèches, contribuant ainsi à améliorer la qualité de vie des habitants du 12ème arrondissement.

Il était également un ardent défenseur de l’inclusion et de la diversité. Il croyait en l’universalité de Paris, ville accueillante pour les personnes de toutes origines. Son plaidoyer pour l’intégration des étrangers dans la lutte contre les discriminations reflétait sa vision d’une société juste et ouverte, où chacun trouve sa place. 

Membre de l’UDF puis du MoDem, il était profondément attaché aux valeurs humanistes. D’une fidélité rare, il apportait à de nombreuses reprises les couleurs du centre dans son cher 12ème arrondissement, y compris lorsque des décisions malvenues auraient pu l’en empêcher. 

Les élus du groupe MoDem, Démocrates et Écologistes adressent à sa famille, et notamment à ses enfants, Frédéric, Benoît et Jean-Mathieu et à leurs proches leurs plus sincères condoléances. 

Je vous remercie.  

Communiqué de presse du groupe MoDem, Démocrates et Écologistes au Conseil de Paris

 

C’est avec beaucoup d’émotion que nous avons appris la disparition de Valéry Giscard d’Estaing. Nous adressons à sa famille, à ses proches, à tous ceux qui l’ont accompagné nos pensées les plus chaleureuses et nos condoléances les plus sincères.

Président de la République de 1974 à 1981, il aura ouvert une nouvelle ère pour notre pays. Les Français se souviendront de son septennat, sur lequel a soufflé un vent de modernité : renouveau de la démocratie française – augmentation de la place des femmes dans la vie politique, abaissement du droit de vote à 18 ans, élargissement du droit de saisine du Conseil constitutionnel, suppression de l’ORTF – progrès majeurs pour les droits des femmes – légalisation de l’avortement, remboursement de la pilule et interdiction du licenciement des femmes enceintes -, seront les grandes avancées sociétales de ces années 1970.

Il transforma profondément la France et le territoire national, avec le TGV. Il porta une certaine idée de l’espace public en refusant une autoroute urbaine sur les quais rive gauche à Paris et en initiant, à Lyon, les premières rues piétonnes.

A l’origine de l’Union pour la démocratie française, il fut un Européen convaincu, engagé pour une Europe forte et démocratique : élection du Parlement européen au suffrage universel direct et prémices de notre monnaie unique, projet de constitution européenne. L’Union européenne lui doit beaucoup.

Ce matin, les élus du groupe MoDem, Démocrates et Écologistes saluent un grand centriste, un grand Européen, et un grand homme d’État qui a marqué la France et son Histoire.

Le groupe MoDem, Démocrates et Écologistes demande ce jour que Paris lui rende hommage, en accord avec sa famille, par exemple en rebaptisant du nom de Valéry Giscard d’Estaing les quais rive gauche jouxtant le Musée d’Orsay dont il est à l’origine ou encore la gare de Lyon qui dessert sa région, l’Auvergne.