Quelques jours avant le 14 juillet, l’Aquarium de Paris s’est retrouvé dans le périmètre de sécurité du feu d’artifice édicté par la Ville de Paris, sans aucune information préalable à destination de l’aquarium et de ses salariés.
Donc à la veille du 14 juillet, les visiteurs, bien entendu, n’avez plus accès, mais également les employés, privant ainsi les milliers de poissons de soins. Il a fallu une décision en urgence du Tribunal administratif pour permettre à une équipe de soigneur de venir nourrir les 13 000 poissons de l’Aquarium de Paris.
Le Tribunal administratif de Paris a demandé à la Ville d’autoriser sans délai une équipe restreinte à accéder aux lieux.
Heureusement que la justice est allée extrêmement vite. Mais évidemment on se pince pour croire qu’on ait pu imaginer que 13 000 poissons soient laissés sans soins et sans nourriture pendant plusieurs jours.
Comment cela est-il compatible avec la stratégie « animal en ville » ?
Et donc c’est l’objet de ce vœu, comprendre ce qui a pu se passer pour que cela ne se reproduise jamais et également prévoir des plans de continuité d’accès de l’ensemble des lieux abritant des animaux.
C’est un vœu très modeste que je vais vous proposer, qui a un lien avec le vœu précédent. Nous l’avons voté à l’unanimité au Conseil d’arrondissement du 6ème, je l’ai fabriqué avec Antoinette Kis qui est élue écologiste, Céline Hervieu qu’on n’a pas besoin de présenter ici, et avec un certain nombre de membres de conseils de quartier du 6ème qui sont très volontaires sur ce sujet.
Il s’agit de faire apprivoiser, par les Parisiens, cette obligation qui arrive à grand pas, qui vient dans moins de 6 mois maintenant au 1 janvier 2024, sur la collecte des biodéchets, qui a commencé un tout petit développement donc c’est déjà un premier pied dans la porte, mais il faut maintenant, nous pensons, passer à la vitesse supérieure pour faire entendre aux Parisiens que ça arrive. Donc il faut selon nous : communiquer, communiquer, communiquer, faire travailler la mairie centrale avec les mairies d’arrondissement et essayer de mouiller le plus possible les conseils de quartier parce que nous pensons que c’est bien par eux que peut passer la meilleure habitude possible à cet égard.
Donc voilà j’espère que très modestement ce vœu sera adopté et pourra contribuer à améliorer les choses. Merci beaucoup.
Décidément ce conseil aura été marqué par les débats sur l’environnement et à travers lui, l’avenir des Parisiens, et face à un avenir climatique bien différent de celui d’aujourd’hui.
Avec ce rapport développement durable, appelé “Paris Demain”, on essaie d’avoir un œil critique sur ce que l’on n’a pas fait, sur ce que l’on a fait, sur ce qu’il faut faire d’urgence, mettre en place pour demain ou après-demain.
Il faut le reconnaître, moi je le reconnais, ce rapport est assez complet. Les différents plans et actions dont il parle sont à peu près exhaustifs, à quelques détails près. Je ne vais pas revenir sur tous ces points, je veux parler du fond, je n’ai pas le temps, je vais en particulier faire l’impasse sur tout ce qui a été dit hier après-midi avec le rapport de la MIE.
Quelques remarques simplement. Sur l’approvisionnement en énergie, dont on sait qu’il devient critique, tant par les crises géopolitiques que par les prix ou la raréfaction de la ressource. J’ai déjà eu l’occasion de la dire ici quand nous parlions il y a quelques mois des réseaux de chaleur urbain. Nous avançons, mais pas du tout à l’allure qu’il faudrait avoir. Je sais que cela représente des investissements très lourds, mais nous sommes en retard et les politiques mises en place ne montrent pas réellement une volonté d’accélérer. D’autres villes, comme Strasbourg par exemple, sont bien plus en avance que nous.
Sur l’éclairage public, idem, il y a une volonté. Mais là, comme sur le point précédent, ce sont les débats d’ hier matin, sur le vœu des comptes administratifs, qui nous dictent votre conduite. Les finances de la ville ne nous permettent pas d’aller plus vite. C’est vraiment dommage car c’est indispensable, et une véritable source d’économie énergétique et budgétaire.
Deux autres sujets. Le premier concerne les déchets. Je suis un peu inquiète du manque de visibilité sur l’action de la ville face aux obligations qui arrivent, votées dans la loi Climat et Résilience. En effet, au 1er janvier 2024, nous devrons, la Ville devra être capable de gérer les biodéchets des Parisiens, en particulier comme les restaurateurs. Dans le 6e arrondissement, avec le maire et les élus de tous bords, nous voulons nous attaquer au problème. En conseil d’arrondissement, à travers les conseils de quartier, avec la volonté surtout de sensibiliser le maximum d’habitants à cette question. Nous aurions évidemment, compte-tenu du peu de moyen localement, besoin de l’aide de la mairie centrale et de ses services, que nous obtiendrons facilement, j’en suis sûre. De la même façon, un mot sur la gestion des mégots, qui est un peu mon obsession. Nous tentons dans le 6e de faire de gros efforts sur ce sujet, mais nous nous sentons bien seuls. À quand les poubelles dans tout Paris qui permettent de faire ce tri indispensable, puisque désormais, grâce à un amendement MoDem à l’Assemblée Nationale, je le rappelle encore une fois, nous savons les traiter, les recycler et éviter une pollution immense.
Le deuxième point rapide que je veux aborder est celui des déplacements. Là-dessus soyons clairs, le rapport est vraiment court. Je sais que nous aborderons plus loin dans quelques heures cette question en vertu de la loi d’orientation des mobilités. Je cite toutes ces lois, avec leurs dates, parce que j’avoue en avoir un peu assez entendre la gauche de cet hémicycle nous expliquer à longueur de temps que nous ne faisons rien au niveau national sur le sujet. Mais si, les gouvernements qui se sont succédé depuis 2017 ont marqué clairement la volonté d’avancer, à nous collectivités de suivre désormais. Le modèle de déplacement à du sens. Il touche, au-délà des mobilités, le cœur de l’action possible pour notre environnement. Piétons, vélos, transports en commun, voitures, camionnettes d’artisans, camions de livraison, nous ne devons oublier personne. Le rapport évoque bien la logistique, tant mieux, et il y a là dessus, je reconnais, une vraie réflexion. Sur le vélo, c’est très court, et d’autres en revanche sont oubliés.
Par exemple les artisans, qui renonce à leurs chantiers du fait des embouteillages, du temps perdu, du coût que cela amène. Les transports en commun, qui devraient être le cœur d’une politique de décarbonation, paient cher aujourd’hui vos aménagements routiers. Un bus doit naviguer d’une voie seule, à une voie partagée avec les vélos, et finir bloqué sur une voie unique avec les voitures. Cela vous paraît invraisemblable ? Et bien non, allez-voir le boulevard Saint-Michel en ce moment, c’est assez frappant. Sur le vélo oui, d’énormes progrès ont été faits, c’est une excellente chose, et ce par forcément grâce à Vélib’ qui marche de moins en moins et qui est de plus en plus cher. Il faut aussi quelques fois avec des diplômes bien spécifiques pour comprendre où l’on doit aller, quelle voie prendre pour continuer son chemin et arriver à bon port.
Les voitures maintenant. À titre personnel, je l’avoue, je pense que mettre fin aux voitures thermiques est une erreur. Les carburants alternatifs propres arrivent et se développent, et il ne faut certainement pas tout jeter. Quant aux voitures électriques, on a frôlé les coupures cet hiver avec le contexte géostratégique. Qui saurait dire aujourd’hui que nous serons capables de fournir tout le monde en 2030 ? Ceci étant, avec les aménagements que vous avez décidé ces derniers temps, il faut désormais faire 1km dans les bouchons, avec toutes les émissions de particules que cela implique, là où avant, on faisait ces 100 mètres en ligne droite.
Se déplacer dans la ville est un des premiers éléments de la qualité de vie. Pour le confort des Parisiens, pour leur santé, pour contribuer à la réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre. Pour la suite, il me tarde le débat de juillet sur le plan à venir pour que nous en reparlions.
Après : 6 mois de travail, 75 personnes auditionnées, les 85 recommandations de la mission d’information traduisent un constat alarmant : la ville de Paris n’est pas prête à faire face aux conséquences du dérèglement climatique.
Notamment, et nous l’avons évoqué longuement hier, parce que les discours de l’Exécutif ne sont pas en adéquation avec les actes : création d’îlots de chaleur, abattage d’arbres, artificialisation de la ville ont contribué à faire de Paris une étuve. Comme l’été dernier nous l’a douloureusement démontré avec des relevés de température pouvant aller jusqu’à 59° sur le sol de la place de la République, après le record de 42° le 25 juillet 2019.
Selon une étude du Lancet, parmi 854 villes dans 30 pays en Europe, Paris est la ville où le risque relatif à la chaleur est le plus élevé. Et ce, selon Pierre Masselot, cela s’explique en raison « du manque de végétation et aussi de la couleur du goudron ou des matériaux » utilisés à Paris. Ajoutés à la faible présence d’eau et la topographie, ainsi que les émissions de chaleur anthropique, Paris est une ville fortement exposée à l’effet d’îlot de chaleur urbain, faisant peser des risques majeurs sur la santé des habitants et sur la biodiversité.
D’où l’importance de cette mission d’information dont je veux saluer la qualité des travaux, l’implication d’Alexandre Florentin, le président, à l’origine de cette proposition, et de Maud Lelièvre, sa rapporteure.
Une mission indispensable, vitale même. Car aux côtés de l’indispensable atténuation – la diminution de 55% de nos émissions de gaz à effet de serre à horizon 2030 au niveau européen à laquelle Paris doit prendre toute sa part, nous devons aussi travailler sur l’adaptation. Paris à 50° ne relève pas de la science-fiction et nécessite que nous changions de braquet.
Je voudrais revenir sur certaines des recommandations ambitieuses que nous avons portées dans le cadre de la MIE :
Premier volet : Préserver l’habitabilité de notre ville
Après la lutte contre le froid, c’est aussi désormais à la lutte contre le chaud à laquelle nous devons nous atteler. Si nous n’accélérons pas, de très nombreux logements seront impropres à l’habitation. Il faut donc développer le raccordement des bâtiments au réseau de froid urbain, intégrer le confort d’été aux normes de rénovation et repenser notre utilisation des toits. Nous prônons également pour l’interdiction des sorties de climatiseurs sur les toits.
Deuxième volet : Faire passer Paris d’une « ville radiateur » à une « ville oasis »
Et ce grâce à une importante désimperméabilisation et l’implantation d’une végétalisation de pleine terre. Paris doit devenir un véritable jardin, et non une ville pelouse, rapport au débat de ce matin.
Développer l’ombre, en veillant à des indices de canopée exigeants et étendre les trames vertes à partir des parcs pour créer de nouveaux corridors de biodiversité et de fraîcheur. Cette re-végétalisation doit s’appuyer sur des espèces résistantes, sobres en eau. La ville oasis passe également par la création de places de village, ombragées et créatrices de lien social…
Troisième volet : Mieux faire circuler l’air à Paris
Pour rafraîchir l’espace urbain de manière passive, en préservant les couloirs d’airs existants (donc en conservant les dents creuses).
Et enfin, mieux protéger les populations,
en améliorant l’efficacité du fichier Reflex, en ouvrant davantage de lieux refuges, pensés pour tous, y compris pour les animaux. Et en imposant des restrictions de circulation en période de canicule.
Face aux pics de chaleur à venir, la situation parisienne est plus qu’alarmante. Il n’est pas trop tard, mais c’est maintenant. Et le fait d’avoir rejeté en bloc, hier, nos amendements et vœux, dont la plupart étaient la traduction des recommandations de la MIE est un très mauvais signal.
Face à la catastrophe annoncée, ce n’est pas de posture dogmatique dont nous avons besoin mais bien de rassembler toutes nos forces avec un seul objectif : permettre à Paris de surmonter ce défi, en dépassant les clivages et petits jeux politiques. La protection des Parisiens est à ce prix.
Je souhaite également commencer par des remerciements. D’abord vous remercier, vous, chers collègues, membres de cette Mission d’Information et d’Evaluation, pour votre implication et votre présence constantes tout au long de ces six mois.
Je souhaite également remercier le Bureau des missions de l’Assemblée, en particulier Michel Des-Boscs et ses collaborateurs Williams Andres, Fabrice Deschamps, Jeanne Giraudon, Nicolas Rose, Anne-Gabrielle Grenet, Dominique Martin. Qui nous ont permis, grâce à leur savoir-faire, à leur technicité de travailler dans des conditions plus que favorables et nous aider et nous guider pour produire un rapport de qualité.
J’adresse également mes remerciements tout particuliers aux collaborateurs des différents groupes qui se sont impliqués dans cette mission, et en particulier ceux du groupe MoDem Démocrates et Écologistes : Jeanne Bes de Berc et Pierre Seguin.
Enfin il m’apparaît important de dédier quelques mots au Président de la mission, Alexandre Florentin, avec qui, effectivement c’est vrai, j’ai partagé de longues séances de travail, y compris le week-end pour essayer de trouver une voie consensuelle et partagée avec qui il a été très agréable de travailler intellectuellement pour produire un rapport de qualité.
J’espère que ces liens convergeant au sein de la mission que nous avons trouvés entre élus, collaborateurs, que nous avons su créer, perdureront, permettront d’avancer ensemble dans des sujets importants pour dessiner un meilleur avenir pour Paris.
Ce rapport laisse tout de même une interrogation en suspens : Fuir ou périr dans une ville radiateur ?
Voilà une question que, je l’espère, ne devront jamais se poser les Parisiens, notamment ceux qui ne peuvent pas partir. Or, dans un Paris devenu inhabitable, dans un Paris sous 50°C, qui pourrait arriver plus rapidement que prévu si nous ne changeons pas de trajectoire, il faudra avant tout protéger les populations.
Sous bien des aspects Paris est une ville riche. Riche en histoire, en ressources, en savoirs, en forces vives, en compétences. Notre capitale dispose de capacités de résilience qu’aucune autre ville au monde ne peut se vanter d’avoir grâce à son Histoire, à l’hétérogénéité de son architecture. L’histoire de Paris est remplie de moments durant lesquels nous n’avons pas cédé. Durant lequel les Parisiens ont toujours su trouver les ressources nécessaires à la défense et la protection de leur capitale. C’est aujourd’hui à nous de la protéger face à un ennemi plus invisible, plus sournois, mais tout aussi dangereux.
Nous devons nous retrouver ensemble, en tant qu’élus de la Ville de Paris, à ce moment clefs de notre histoire commune. Je ne reviendrai pas sur les propositions ni les conclusions, qui ont été présentées par Alexandre Florentin mais les axes d’adaptation sont maintenant connus nous l’avons largement présenté. Ce qui est important c’est de se dire qu’il faut partir de l’existante, il faut aller vers un avenir et il faut agir dès maintenant
Agir dès maintenant pour protéger dès l’été prochain les populations, agir dès maintenant, dès ce mois de juin pour protéger ceux qui travaillent dans des conditions difficiles.
Les Parisiens nous attendent, ils attendent de nous, décideurs politiques, que nous puissions mettre de côté nos luttes partisanes et que nous avancions ensemble. Il est vrai parfois que notre vision d’adapter Paris n’est pas totalement la même, mais cette mission a su montrer qu’on pouvait ensemble avoir des points de convergence, trouver de grandes idées, des volontés communes. Il est vrai que parfois, c’est un peu l’image que j’ai de cette mission, c’est que nous avons un peu comme des plaques tectoniques qui se rencontrent, créent quelques remous, produit des montagnes, je ne sais pas si c’est l’Everest. Mais en tout cas la conclusion c’est qu’individuellement nous ne pouvons y arriver ; c’est avec une volonté commune exacerbée que nous arriverons à dépasser ces difficultés que nous connaissons aujourd’hui.
Ces six mois de mission nous auront permis de comprendre que c’est la manière avec laquelle nous faisons ville qui doit être repensée. Nous devons partir de ce qui fait Paris pour imaginer demain.
Paris c’est une histoire, une architecture, un romantisme et une renommée que nous ne pouvons oublier quand nous pensons à l’adapter. Bien au contraire, c’est en permettant à Paris de continuer à rayonner, à travers l’imaginaire que notre capitale véhicule, que nous pourrons mettre en place des mesures d’adaptation dont le monde entier s’inspirera. Paris est une source d’inspiration et nous pouvons permettre qu’elle le reste en dépassant les contraintes. Elle deviendra ainsi la première ville au monde ayant embrassé son avenir tout en regardant son passé. S’appuyer sur le patrimoine parisien afin de penser une ville totalement reconnectée avec la nature doit être le moteur de l’élaboration de nos prochaines politiques publiques.
Paris doit devenir le berceau du nouveau triptyque Humains – Ville – Nature. Prendre en compte l’histoire et le patrimoine Parisien sans avoir peur du changement doit nous permettre collectivement de rendre cette ville plus résiliente, à travers la création d’une nouvelle relation entre l’homme et le vivant. Cette relation peut être porteuse d’espoir notamment la mise en place de solutions fondées sur la nature.
Endiguer la spirale infernale dans laquelle l’humanité s’est insérée ne passera que par des solutions collectives notamment dans les villes, et en changement de modèle civilisationnel.
Il faut une implication de tous, celle du Conseil de Paris, des associations que nous avons largement concertées, des citoyens qu’ils soient engagés, ceux qui s’engageront demain, du monde économique et du monde du travail.
Quand nous parlons protection de l’environnement, nous parlons aussi de la protection de la ressource en eau, de l’énergie, de l’air non polluée, de système alimentaire ainsi que de la protection des conditions de viabilité sans lesquelles l’espèce humaine ne peut perdurer. C’est pourquoi, un modèle d’une ville qui serait intelligente, technique et surclimatisée ne peut être utile qu’à court terme.
Sans un environnement sain, les sociétés humaines et leurs structures politico-sociales n’existent pas. Et c’est donc sur ce chemin collectif que nous devons avancer ensemble, collectivement pour garder un Paris viable et habitable.
Repenser Paris, c’est repenser la manière avec laquelle nous faisons ville, avec laquelle nous faisons société. En ce sens, revenir au cadre conceptuel de l’IPBES, l’équivalent du GIEC pour les questions de l’environnement, à savoir :
La nature pour la nature,
La nature pour la société,
La nature pour la culture.
S’applique parfaitement à Paris et peut demain servir de fil vert à notre politique d’adaptation.Nous devons retourner à l’essentiel, recréer ces liens et j’espère que cela sera le sens de nos travaux des prochains mois.
La sobriété énergétique est une nécessité, tant d’un point de vue de la situation géopolitique et de notre autonomie stratégique, qu’un impératif écologique.
En septembre dernier, la Ville avait annoncé vouloir réaliser 10 % d’économie d’énergie avec un certain nombre de mesures. D’abord, l’extinction de la Tour Eiffel la nuit, puis la réduction de la température dans les bâtiments publics. Une disposition qui ne semble pas être respectée dans l’ensemble des bâtiments de la ville.
Le Conseil de Paris avait ajouté un dispositif relatif à l’extinction des publicités lumineuses sur les colonnes Morris, les kiosques, les abris voyageurs, de 23h45 à 6h du matin.
Par ce vœu, nous demandons simplement une évaluation du plan tel qu’il avait été présenté et mis en œuvre par la Ville. Et par ailleurs, il nous donne l’opportunité de rappeler notre attachement à la révision du RLP.
Le sujet de la publicité lumineuse est une question importante, tant d’un point de vue environnemental que de santé publique.
Il mérite donc de faire l’objet d’un débat public et de trouver une traduction dans le RLP.
Pourriez vous nous éclairer sur le calendrier de sa modification ?
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