Ce débat est assez caricatural une nouvelle fois, et plutôt que parler d’écriture inclusive, je préférais qu’on parle de langage épicène, car en raison des difficultés d’apprentissage engendrées par cette écriture dite inclusive et son manque d’accessibilité, en réalité ce langage exclut.

Mais bien évidemment la langue française n’est pas figée, elle évolue, elle anticipe, elle accompagne les évolutions de la société, elle est même un levier de l’égalité des droits.

Alors oui, il faut la féminisation du langage, mais pardonnez-moi, mais quand on n’est pas capable d’écrire correctement “les Parisiennes”, non pas comme un adjectif mais comme un substantif, on n’a pas de leçon à recevoir de féminisme.

 

 

Je vous remercie.